vendredi 20 avril 2018

Mirage de Douglas Kenedy - Lecture

Mon avis: Livre qui cache des thème très différents dont l'argent, le voyage, le couple, et d'autre encore que je ne peux pas révéler pour pas vous spoiler. En tout cas, les différents thèmes sont apportés avec une certaine réalité même si elle parait absurde, j'imagine que ça arrive vraiment...
L'aventure dans le desert tarde un peu à commencer mais vous transporte complètement! Il livre pas forcement joyeux, mais avec des messages forts! A lire!

Résumé: Dans la chaleur étouffante d'un Sahara de tous les dangers, passion, mensonges et trahisons. Et si l'amour n'était qu'un mirage ? Un voyage plein de rebondissements au cœur d'un Maroc inattendu, avec le plus captivant des guides : Douglas Kennedy.
Robyn le sait, son mari Paul est loin d'être parfait. Artiste fantasque, insouciant, dépensier, ce jouisseur invétéré a du mal avec les limites du quotidien. Le couple s'aime encore mais la crise couve. Sans compter la question des enfants. Robyn en veut un, Paul est d'accord. Mais le temps presse, et rien ne se passe...
Pourquoi pas un voyage au Maroc ? Changer d'air, prendre le temps de vivre, se redécouvrir, et faire enfin ce bébé qui leur manque tant.
Sur place, la magie opère : Paul se remet à peindre et Robyn à espérer. C'est alors qu'une nouvelle tombe, un secret révélé, si lourd, si explosif qu'il dévaste tout. Et Paul disparaît.
​Folle de douleur, terrifiée à l'idée de perdre celui qu'elle ne peut s'empêcher d'aimer, Robyn va se lancer à sa recherche. Une quête qui la conduira au bout d'elle-même...



mardi 17 avril 2018

Cidade Maravilhosa - Mon récit sur Rio de Janeiro


« Cidade Maravilhosa »

Quand madame Gay nous a présenté le projet de ce récit, je m’en suis vite réjouie. J’ai de suite pensé à écrire sur mon voyage au Brésil que j’ai réalisé en janvier 2010 pour la durée d’un mois. En effet, voyager à travers ce pays était pour moi un rêve et j’avais envie d’en décrire ne serait-ce qu’une journée et l’avoir sur papier pour ne jamais en oublier les détails. Après réflexion, j’ai pensé que ma première journée à Rio de Janeiro serait un sujet intéressant et amusant à écrire. Je me suis concentrée sur ma visite à la favela de Babilônia car c’est une expérience qui m’a énormément marquée et plu. Par ce récit je veux faire découvrir un peu de la culture brésilienne à mon entourage car cela me tiens très à cœur.

En janvier 2010, mon rêve a été réalisé. J’ai voyagé à travers le Brésil pendant un mois. Nous avons visité neuf villes : Salvador da Bahia, praia do forte, Buzios, les Foz d’Iguaçu, Morretes, Curitiba, Ilha do Mel, Paranagua et Rio de Janeiro qui est à mes yeux la plus belle ville au monde. Je suis partie avec une amie, Nathalie. L’organisation de ce voyage nous a pris trois mois et la visite de cette ville était pour moi l’apogée de notre voyage. Nous y avons atterrit le 27 janvier 2010.

En arrivant, notre guide « Monsieur Jérôme », un homme d’une soixantaine d’années, nous attendait avec des petites lingettes humides ainsi que des bouteilles d’eau pour que l’on puisse se rafraichir. Cette attention m’a beaucoup touchée et m’a mise à l’aise. Il nous a fait visiter le Jardin Botanique de Rio de Janeiro, un endroit merveilleux où la nature côtoie l’art et l’histoire. Nous avons fini la journée en nous baladant sur les hautes collines qui surplombent les belles plages connues de Rio.

C’est à ce moment-là que le téléphone de notre guide a sonné et que mon « aventure » a commencé. Suite à cet appel, il nous propose d’aller visiter, le jour suivant, la communauté de Babilônia. Dans notre vocabulaire, c’était bien une « favela » mais là-bas, ils appellent ces « quartiers » des communautés car cela est moins péjoratif. J’ai appris que les gens qui y vivent ne sont pas forcements pauvres et ont un niveau de vie moyen pour une partie d’entre eux. Je suis restée sans voix, je ne savais pas quoi répondre car j’avais promis à mes parents que je ne mettrais pas les pieds dans une « favela ». Accepter aurait trahit leur confiance, même en étant à 10’000 Km d’eux. J’avoue que j’étais paniquée à l’idée d’aller visiter une favela et me suis demandée pourquoi « Monsieur Jérôme » voulait nous amener là-bas.

En effet, cela n’était pas prévu dans le programme de la journée. J’ai cherché du réconfort auprès de ma copine qui m’a rappelé que nous n’étions pas obligées d’accepter et que nous réfléchirions pendant la nuit. Pour nous convaincre, notre guide nous a expliqué le but de cette visite : Nous allions être accueillis par des guides qui avaient réussi à pacifier cette « favela » avec l’aide de travailleurs sociaux et de la police en juin 2009. Leur but était maintenant de faire venir les touristes avec l’accord de la population pour faire connaître au monde une favela qui s’est sortie de la drogue et de la pauvreté extrême. Certains habitants de Babilônia participaient activement au programme en accueillant les touristes chez eux et en leur préparant à manger ou en leur donnant des cours de danse. De plus, cette visite était dédiée à faire connaître cette « favela » et son projet au journal local « O Globo ». Nous étions alors les bienvenues, ainsi les journalistes allaient pouvoir nous poser des questions sur ce que nous pensions du programme et de la promenade entant que simples touristes, étant donné que le reste du groupe était principalement composé de guides de la région. L’objectif de cette visite était de sortir un article dans le journal du dimanche sur cette « communauté » pour enfin montrer un nouveau visage des « favelas ». D’ailleurs le dimanche qui a suivis, ils avaient publié une photo de moi en première page, je n’en revenais pas! Grâce à ces explications j’étais motivée à participer à ce projet qui n’en était qu’à ces débuts. J’ai alors pris la décision après une nuit de réflexion. En apprenant que deux enfants étaient conviés à la visite, cela m’a davantage rassurée. Nous sommes alors partis mon amie, notre guide et moi à l’aventure sur les hauteurs « interdites » de Rio !

Nous sommes arrivés vers 8h15 dans un parking près de l’entrée de la communauté de Babilônia qui est située juste derrière les immeubles de luxe qui longent la plage de Copacabana et Botafogo. Les maisons sont encore en ciment brut sans aucunes peintures extérieure (le fait que ces habitations ne soient pas terminées évite au propriétaire de payer des impôts). Elles sont construites les unes sur les autres. Il y a peu d’espace pour circuler entre les maisons, les ruelles sont minuscules et pour accéder aux habitations placées plus haut, il y a des escaliers parfois dangereux qui font aussi offices de canalisations ; l’eau coule de chaque côté, sous nos pieds. Les câbles d’électricité ressemblent à une sorte de toile d’araignée géante.

Nathalie et moi avons mis des pantalons pour éviter au maximum de nous faire piquer par les moustiques mais, en plus de cela, nous nous sommes tout de même badigeonnée d’anti-moustiques et nous sommes équipées d’une casquette pour nous protéger du soleil, ainsi que d’une bouteille d’eau chacune. En effet, pour nous qui ne sommes pas habituées à ses chaleurs extrêmes (il faisait environ 35° à l’ombre à 8 heure du matin), l’eau était absolument nécessaire !

Les organisateurs nous attendaient déjà et nous sommes tous allés retrouver les journalistes à l’entrée de la communauté. Les travailleurs sociaux nous ont expliqués l’histoire de ce quartier. Nous avons tout d’abord traversé la partie habitée de la communauté. Nous nous sommes baladés à travers les petites ruelles et les maisons. Nous avons croisé des hommes qui portaient de gros sacs pleins de briques. Ils avaient l’air de faire ça avec une certaine facilité, ce qui était assez impressionnant vu le nombre de marche à gravir et la chaleur qu’il faisait déjà tôt le matin.

Nous sommes arrivés à notre premier but qui était l’entrée des « trilhas » c’est à dire les sentiers prévu pour la balade. Le départ était devant l’école du petit village. Sur le mur de celle-ci était peint un grand drapeau du Brésil en signe d’amour pour leur pays.  L’école était fermée car en janvier, au Brésil, c’est les grandes vacances d’été. Nous y avons fait un petit arrêt afin que le guide nous raconte quelques détails sur cette école, dont j’avoue ne pas bien me souvenir. Puis nous avons commencé une balade d’une heure à travers la forêt située au dessus de la communauté. Au sommet de cette colline qui surplombe Rio, nous pouvions voir la plage de Copacabana et la montagne du Corcovado. Nous avons vu quelques maisons qui étaient encore plus difficiles d’accès puisque qu’elles étaient en dehors de la zone habitée, un peu comme des maisons de campagne. Nous avons aperçu des enfants jouer devant leur maison sous la surveillance de leur mère qui lavait le linge dehors. J’imagine que l’avantage d’habiter isolés, plus haut sur la colline, est d’avoir plus d’espace privé à l’extérieur de la maison, ce qui est agréable lors de grandes chaleurs. Dans la communauté même, les enfants n’ont pas vraiment de verdure où jouer, ils s’amusent à même les sols chauds en bêton.

En arrivant à la hauteur de la dernière maison, je me suis rendue compte qu’en entrant dans la forêt, je ne pouvais plus faire demi tour, je devais finir la marche avec les autres. Le problème est que je ne suis pas habituée aux randonnées et, surtout, je ne m’attendais pas à devoir marcher autant hors de la communauté. J’avais très chaud et le fait de quitter la ville m’a angoissée, je me sentais perdue ; je me suis dis que s’il m’arrivait quelque chose, les secours ne pourraient pas venir me chercher. Nous nous sommes alors arrêtés pour que le guide nous parle et, en voyant la hauteur où nous nous trouvions, j’ai fais un petit malaise. J’étais très triste de ne pas avoir réussi à gérer mes émotions et mon stress. Mon amie est venue m’aider et me rassurer, sans son aide j’aurai surement d’avantage paniqué. Je la remercie d’ailleurs pour son soutien tout au long de cette journée. Nous avons voulu être discrètes mais un petit garçon qui était avec nous a commencé à crier que je me sentais très très mal et qu’il fallait me redescendre d’urgence. J’ai trouvé cela drôle et adorable qu’il s’inquiète ainsi pour moi. Je l’ai alors rassuré ainsi que le reste de l’équipe et nous sommes repartis.

Après cette petite anecdote, je me suis sentie bien mieux et j’ai pu profiter des merveilleux paysages qui m’entouraient. Nous nous sommes arrêtés plus d’une fois avant d’atteindre le sommet. Nous avons rencontré des singes, des toiles d’araignée impressionnantes, des vestiges d’anciens dépôts d’armes. Plus l’ascension de la colline de Babilônia progressait, plus on voyait la ville de haut et, après une heure de marche nous somme arrivés sur le rocher du sommet. J’ai vu toute la ville de Rio sous mes pieds pour la première fois, j’étais fascinée et très émue ! J’avais attendu ce moment très longtemps, je l’avais souvent rêvé. J’ai savouré ce moment comme aucun autre, j’ai fait beaucoup de photos et j’ai posé plein de questions aux guides et journalistes.

En discutant avec les organisateurs de ce tour touristique, l’un d’entre eux ayant appris par « Monsieur Jérôme » que j’étais professeure de danses brésiliennes à Genève, m’a proposé de venir donner des cours de Samba dans le cadre de leur projet. La prochaine fois que je retournerai à Rio, j’espère pouvoir concrétiser ce petit projet ! J’aurais aimé contempler la ville toute la journée, mais le soleil brûlant de plus en plus et la chaleur devenant insupportable, nous avons dû redescendre.

En arrivant à la communauté, notre guide nous a donné le choix soit de rester avec le groupe pour aller manger chez une dame qui habite le quartier, soit d’aller manger dans un restaurant. Nous avons de suite décidé d’aller manger avec le groupe chez l’habitante ; c’était une gentille dame qui nous a reçus chez elle. En arrivant, je ne m’attendais pas du tout à ce que j’y ai vu : sa maison n’était pas finie à l’extérieur, mais l’intérieur était tout à fait convenable. La chambre de sa fille était équipée d’un joli lit, d’un ordinateur et d’une télévision. Je n’en revenais pas. Cette famille n’était pas pauvre et semblait vivre convenablement, même en habitant dans une favela ; preuve que j’avais vraiment des préjugés. Nous avons mangé de la viande avec du riz brésilien. En partant, la plupart d’entre nous lui avons donné quelques « reais » (monnaie brésilienne) pour la remercier. 

La terrasse où nous avons mangé surplombait la favela. C’était bizarre d’être au milieu de toutes ces maisons aux murs nus couverts de récipients de récupération d’eau de pluie avec, en arrière-plan, des habitations luxueuses au bord de la mer. Malgré ce contraste tragique, je me sentais bien…

Les quelques habitants que nous avons rencontrés ce jour là nous ont accueillis très gentiment, ils dégageaient une joie de vivre incroyable et cela nous a redonné des forces pour repartir à la découverte de la Cité merveilleuse !


Après-coup du récit


Les enseignements de mon expérience :

Dans mon rapport à moi :

Cette expérience à été pour moi bien plus qu’une simple visite. En effet, je suis passionnée du Brésil depuis mes 14 ans et depuis je consacre une partie de ma vie à cette passion. Je suis devenue danseuse de Samba et professeure de danses brésiliennes. Entant que passionnée de ce pays, Rio de Janeiro est la ville que je désirais le plus connaître. Elle représentait à mes yeux tout ce que j’aime : samba, plage, soleil, verdure, culture. Mais j’étais bien évidemment consciente des problèmes de cette ville, tels que la violence et la pauvreté. Malgré cela, je refusais de voir cette ville comme un danger et je voulais la découvrir par moi-même pour me faire une idée juste de celle-ci.
Grâce à cette visite j’ai pu réaliser un rêve : voir Rio depuis en haut et profiter des beautés de cette ville. J’ai aussi aperçu le lieu des répétitions de l’école de Samba de la favela de Babilônia, cela étant pour moi un des endroits les plus importants du quartier, car je crois beaucoup en la puissance de la musique et de la danse pour aider les gens à vivre mieux. J’ai découvert la gentillesse de ce peuple si accueillant et rassurant. J’ai aussi vu la pauvreté dans les rues et dans la communauté. J’ai été rassurée de voir qu’une favela n’est pas seulement un bidonville et qu’il y a des personnes de classe moyenne qui y vivent. De plus, j’ai été agréablement surprise par ce projet qui est bien mis en place et qui a réussis à bannir la violence et la drogue de ce quartier. Pour une fois, la force d’une association et de la police a porté ces fruits, les habitants y vivent maintenant en sécurité. Cela m’a motivé pour peut-être aller travailler avec ces travailleurs sociaux. 
J’ai surmonté mes peurs d’être isolée loin de la ville, pour moi cela a été difficile, mais je suis fière d’avoir fini la balade avec les autres. Aujourd’hui, quand j’angoisse je repense à cette journée où j’ai souffert et paniqué mais où j’ai aussi surmonté tout cela ; j’ai regagné un peu confiance en moi. Du coup je relativise et je gère mieux mes angoisses.

Dans mon rapport aux autres :   

Pour la première fois, j’ai pu donner ma confiance à un inconnu (mon guide). Il a su me mettre à l’aise et me dire les bons mots pour me rassurer. La présence de mon amie Nathalie a été très importante, elle est restée calme tout au long de la journée et a banalisé la chose. Ma peur étant surtout d’être éventuellement mêlée à une fusillade comme on en parle au télé journal, le fait d’y être allé en groupe a été très rassurant et un plaisir, ainsi j’ai pu échanger mes sentiments (de peur, bonheur, etc.) et ma passion pour cette ville avec des personnes qui partagent ce même intérêt. A la fin de la journée j’ai remercié tout le monde du fond du cœur pour cette belle expérience. Même si les autres ont été importants lors de cette balade, cela est resté mon moment, j’en ai profité à fond, en me remémorant  à plusieurs reprises que j’étais à Rio, enfin !

Dans mon rapport au monde :

Je veux par ce récit transmettre ma passion pour la ville de Rio de Janeiro et la culture Brésilienne. Je suis heureuse de pouvoir montrer  à mon entourage une facette de Rio et de ces favelas plus positive. De plus, je vais mettre mon récit (sans l’après coup) sur internet, pour que les personnes intéressées puissent le lire. Je l’ai aussi envoyé à mon guide pour qu’il puisse le montrer aux organisateurs de la visite. C’est une manière pour moi de les remercier.
Je suis contente d’apprendre que le projet tient toujours et que les travailleurs sociaux sont soutenus par l’État. C’est tellement rare dans de villes aussi grandes et qui souffrent autant de pauvreté.
Cette visite a été un déclanchement pour d’autres visites touristiques, c’est une réussite pour toute l’équipe. J’espère que d’autres personnes prendront exemple sur ce projet et feront pareil pour d’autres favelas, même si je suis tout à fait consciente que la pauvreté et la violence ne disparaitra jamais, c’est déjà un début pour un monde meilleur.

Les enseignements de la démarche d’écriture

Dans ce récit je me situe en tant qu’auteur, narrateur et personnage. Je suis impliquée dans le récit. J’ai écris au « je » et au passé. Au début, je voulais écrire ce texte au présent car je trouvais cela plus joli, mais je n’ai pas réussi. Le passé me revenait naturellement et cela m’a permis de décrire plus facilement mes ressentis et mes actes. Les personnages principaux sont moi-même, mon amie Nathalie et notre guide. Les personnages secondaires sont le reste du groupe duquel je faisais partie pendant la visite ainsi que tous les habitants que nous avons rencontrés pendant la visite. J’essaye de montrer dans ce récit un lien fort entre mon amie et moi ; avec le reste des personnages nous avons une relation moins intime du fait que je ne les connais pas. Mais nous nous sommes assez rapprochés pendant la visite, nous avons facilement fait connaissances, il y avait une ambiance très détendue, j’espère avoir réussi à montrer cela dans mon récit.

Le choix du vocabulaire, des phrases et du style n’a pas vraiment été réfléchi. J’ai écrit comme cela me venait, je voulais que ce texte reflète ce que j’ai ressentit et soit un récit de voyage spontané, naturel et compréhensible. Par contre, je trouve que des fois je me répète un peu dans mes phrases, je devrais aller à l’essentiel. J’ai relu pas mal de fois mon texte et je l’ai fait lire à plusieurs personnes pour qu’elles me corrigent l’orthographe et me donne des conseils, cela m’a aidé, mais j’ai eu du mal à mettre un point final. Aujourd’hui, quand je l’ai relu, j’avais encore envie de faire des changements dans la syntaxe de certaines phases, mais je n’y ai plus touché, je tacherai de prendre des exemples pour mes prochains écrits.

Après coup, je trouve que j’aurai pu d’avantage refaire ressortir mes émotions mais cela est difficile pour moi. Je me sens plus à l’aise à l’oral. Écrire ce récit a été un plaisir pour moi et je n’ai pas rencontré de difficulté majeure car je parlais d’un sujet que j’aime beaucoup. Par contre, pendant que j’écrivais l’après coup, j’ai été un peu lassée de parler du Brésil. Cela m’a surprise, car c’est la première fois que j’ai ce sentiment. J’aurai peut-être préféré écrire uniquement le récit. Mais maintenant que j’arrive à la fin de l’après-coup je suis contente de l’avoir fait car cela est très intéressant. Simplement, la prochaine fois, je parlerai d’un autre événement qui n’est pas lié à ma passion car je veux que cela reste un plaisir.